LES 10 PLUS GROS MENSONGES SUR LA VACCINATION
Il semble y avoir peu d’études sur le phénomène de mort subite du nourrisson en dépit du fait que c’est la première cause de la mortalité des bébés nés en bonne santé ! Serait-ce parce qu’elle est provoquée par les vaccins ? Essayons-nous de nous faire prendre nos vessies pour des lanternes !
Avant les programmes de vaccination modernes, la « mort au berceau
» était si rare qu’elle n’était pas mentionnée dans les statistiques de
mortalité infantile. Alors par cet article, je veux réveiller les consciences afin que chacun d’entre nous, disions NON à la vaccination !
Les vaccins ne sont pas des médicaments
et sont destinés à des êtres en bonne santé dans le but de prévenir une
maladie hypothétique. Aussi, il serait normal que tout candidat aux
vaccins reçoive une information honnête, précise et complète, sur les
risques de la maladie dont il veut se protéger, mais aussi sur les
risques qu’il court en se faisant vacciner.
Or non seulement l’information, quand elle existe est tronquée et falsifiée, mais souvent elle est parfaitement mensongère.
Mais comme l’avait recommandé Joseph Goebbels, ministre de la
propagande nazie, qui connaissait bien la question : « Répétez un
mensonge mille fois, il restera un mensonge ; répétez dix mille fois, il
deviendra une vérité ».
C’est exactement ce qui se passe dans ce
domaine, où des mensonges dix milles fois répétés sont devenus des
dogmes qui déclenchent des crises d’hystérie dès lors qu’on ose les
remettre en cause.
L’histoire de la vaccination est
jalonnée de falsifications, de dissimulations et de mensonges. Sylvie
Simon a opté pour les dix plus gros flagrants, chacun ayant engendré des
dizaines de plus petits mensonges. « Le mensonge est rarement issu par
génération spontanée d’une volonté déterminée à l’avance par quelque
Machiavel. C’est bien plus souvent un glissement lent et fatal vers une
erreur perçue, mais inavouée, l’orgueil se mêlant ici à la cupidité »
(Thierry Fenoy, avocat au barreau de Châlons-sur-Saône).
MENSONGE N° 1 : Pasteur est un bienfaiteur de l’humanité
« Tous nos problèmes actuels sont l’inévitable résultat de nos brillantes solutions d’hier » (Henry Bergman)
Bien que l’aventure de la vaccination
ait commencé à la fin du XVIIIème siècle lorsque le médecin anglais
Edward Jenner entreprit d’inoculer la vaccine, maladie spécifique des
bovins, afin de protéger les hommes de la variole ou petite vérole,
c’est Pasteur (1822-1895) qui reste le père de la vaccination et c’est
avec lui qu’a débuté le long cortège de mensonges.
Cet homme brillant, intelligent et gros
travailleur, était un expert en communication et se tenait au courant
des travaux effectués par ses pairs. Sa tactique a toujours été la même :
il savait reconnaître les bonnes idées mais commençait par les
critiquer ouvertement, puis il se les appropriait sans vergogne en
prétendant les avoir découvertes. C’est ainsi qu’il est devenu un
bienfaiteur de l’humanité et, surtout, un mythe intouchable.
Le dogme pasteurien est tellement ancré
dans les esprits que rien n’a pu encore l’ébranler et les Français
idolâtrent encore un imposteur. D’une part, Pasteur a maquillé les
résultats d’expérience qui ne lui étaient pas favorables, ensuite, il
s’est approprié certains travaux d’autres chercheurs, dont Antoine
Béchamp (1816-1908), l’un des plus grands savants du XIXème siècle,
médecin biologiste, naturaliste, professeur de chimie médicale et
pharmaceutique à la faculté de Montpellier et professeur de chimie
biologique et de physique à l’Université de Paris, puis doyen de la
Faculté libre de Lille.
Béchamp a démontré la véracité des vues
de Claude Bernard sur la valeur du terrain propre à chaque individu et
fut le premier à comprendre la cause microbienne des pathologies
infectieuses.
Cependant, son œuvre est à peu près
inconnue de nos jours, parce qu’elle a été systématiquement discréditée
et falsifiée aux profits des intérêts personnels de Pasteur.
Dès l’école, nous apprenons que Pasteur «
a sauvé le petit joseph Meister, mordu à la main par un chien enragé ».
À vrai dire, il n’existait aucune certitude que le chien fut enragé car
on ne signala aucune autre morsure ; de plus, quand bien même il
l’aurait été, le risque pour le jeune Meister était infime, car un
animal réellement enragé – ce qui est extrêmement rare – ne transmet la
maladie que dans 5 à 15 % des cas.
L’affaire de la rage est l’exemple même
des mensonges de Pasteur qui ont été répétés et introduits par ses
admirateurs dans la mémoire collective, au point d’être devenus des
vérités pour le commun des mortels.
Le vaccin de Pasteur, à base de moelle desséchée, était très dangereux et fut bien vite abandonné, et le jeune Meister a eu beaucoup de chance d’en réchapper.
Le vaccin de Pasteur, à base de moelle desséchée, était très dangereux et fut bien vite abandonné, et le jeune Meister a eu beaucoup de chance d’en réchapper.
L’histoire n’a retenu que le succès de ce vaccin, mais a oublié de dire qu’il avait multiplié les décès par la rage.
Entre 1869 et 1872, Pasteur a énoncé trois postulats de base erronés qui servent encore aujourd’hui de fondement à la vaccination.
Le premier estimait que l’asepsie règne dans nos cellules : la cellule est propre, tous les microbes sont exogènes (c’est-à-dire qu’ils viennent de l’extérieur) et l’attaquent, et ces germes ont une existence indépendante des organismes vivants.
Le second est que chaque maladie correspond à un agent spécifique, microbe ou virus, contre lequel on peut se prémunir grâce à un vaccin.
Entre 1869 et 1872, Pasteur a énoncé trois postulats de base erronés qui servent encore aujourd’hui de fondement à la vaccination.
Le premier estimait que l’asepsie règne dans nos cellules : la cellule est propre, tous les microbes sont exogènes (c’est-à-dire qu’ils viennent de l’extérieur) et l’attaquent, et ces germes ont une existence indépendante des organismes vivants.
Le second est que chaque maladie correspond à un agent spécifique, microbe ou virus, contre lequel on peut se prémunir grâce à un vaccin.
Enfin, l’immunité s’obtient par la
production d’anticorps en réaction à l’introduction d’antigènes contenus
dans le vaccin et ces anticorps confèrent une protection.
Nous savons depuis longtemps que ces postulats sont faux, les découvertes en immunologie les contredisent totalement, mais les vaccinalistes font mine d’ignorer ces travaux.
Nous savons depuis longtemps que ces postulats sont faux, les découvertes en immunologie les contredisent totalement, mais les vaccinalistes font mine d’ignorer ces travaux.
MENSONGE N° 2 : Il faut éradiquer les microbes et les virus
« Il est étrange que la science qui
jadis semblait inoffensive, se soit transformée en un cauchemar qui fait
trembler tout le monde. » (Albert Einstein)
Nous vivons en symbiose avec les
microbes et si nous les considérons comme nos ennemis, nous entrons dans
une logique de guerre qui met en péril notre système immunitaire. Les
bactéries maintiennent notre équilibre biologique et ne deviennent
pathogènes que lors que notre système immunitaire est perturbé et ne
remplit pas ses fonctions. Quant aux virus, ils se reproduisent
uniquement à partir de leur matériel génétique et ne sont que des
parasites des cellules.
Notre corps peut abriter de nombreux
virus sans que nous ne soyons malades. Il est donc essentiel de
comprendre que les microbes et les virus ne sont pas des ennemis qu’il
faut éradiquer à tout prix et que seul importe le terrain que nous
devons préserver de ses véritables agresseurs.
A la naissance, le système immunitaire
n’est pas encore complètement élaboré et, pendant les premiers mois, le
nourrisson est protégé par les anticorps transmis par sa mère. Cette
immunité héritée est remplacée par une immunité personnelle au fur et à
mesure que l’enfant rencontre des germes, microbes ou virus,
particulièrement grâce aux maladies infantiles. C’est pour cette raison
que les vaccinations apparaissent comme des éléments perturbateurs
incontrôlables.
Le Pr J. Tissot, professeur de
physiologie générale au Muséum d’histoire naturelle, nous mettait déjà
en garde bien avant l’overdose vaccinale actuelle : « L’immunité par
vaccination ne s’acquiert qu’en conférant à l’individu la phase
chronique de la maladie qu’on veut précisément éviter, phase chronique
qui comporte, dans un avenir proche ou très éloigné, de redoutables
complications ». Pr J. Tissot (Constitution des organismes animaux et
végétaux, causes des maladies qui les éloignent).
De toute manière, les vaccinations ne
procurent pas la même immunité que les maladies et les taux d’anticorps
évalués après les vaccinations sont généralement inférieurs à ceux qui
sont évalués après les maladies.
De plus, l’immunité conférée par la
maladie est définitive, ce qui n’est pas le cas pour la vaccination,
dont la protection, si protection il y a, est limitée dans le temps, ce
qui entraîne un retard dans la survenue des maladies, lesquelles sont
beaucoup plus graves chez la population plus âgée, avec une mortalité
multipliée par dix.
MENSONGES N° 3 : Les épidémies ont disparu grâce aux vaccins
« L’opinion actuelle se maintient par la
presse, la propagande et les moyens financiers mis à sa disposition ».
(Dr Albert Schweitzer)
Nombreux sont ceux qui estiment que la
plupart des épidémies ont disparu grâce aux vaccinations et qui refusent
de mettre en doute leur efficacité. Pourtant, certaines épidémies qui
ont ravagé nos pays ont bel et bien disparu sans aucun vaccin, ce que
les partisans des vaccins font mine d’ignorer.
Mais lorsqu’on montre les courbes de
décroissance des maladies, elles débutent au moment des campagnes de
vaccination et non des années ou des siècles plus tôt, ce qui nous
permettrait de constater que la diminution de ces maladies a commencé
bien avant l’introduction du vaccin. D’ailleurs, la plupart des médecins
l’ignorent, et les partisans de la vaccination s’appuient sur ces
statistiques, pour la plupart tronquées et donc inexactes, pour «
prouver » l’efficacité des vaccins, quand ils ne se bornent pas à la
seule affirmation péremptoire que n’étaye aucune sorte de démonstration.
Ils ne se demandent jamais pourquoi ces
épidémies ne continuent pas de sévir dans les pays qui n’ont pas
pratiqué les vaccinations ou qui les ont abandonnées, tout comme ils
semblent ignorer que l’épidémiologie et la presse scientifique
internationale attestent que des épidémies se déclarent encore dans les
pays où la couverture vaccinale est presque totale.
Les immunologistes s’interrogent sur les poussées épidémiques qui surviennent dans les populations vaccinées contre la rougeole, la polio, la tuberculose, la diphtérie et la coqueluche.
Les immunologistes s’interrogent sur les poussées épidémiques qui surviennent dans les populations vaccinées contre la rougeole, la polio, la tuberculose, la diphtérie et la coqueluche.
Ce constat est évidemment embarrassant pour eux car, à l’évidence, il s’agit d’une faillite de la vaccination.
Dans Médecine praticienne (N°467), le Pr Lépine constatait à son tour : « Dans plusieurs pays en voie de développement, on s’était imaginé qu’avec une seule campagne de vaccinations, on arriverait à résoudre le problème. Or, dans plusieurs de ces pays, la fréquence de ces maladies a augmenté, allant même jusqu’à quintupler depuis la vaccination ».
Dans Médecine praticienne (N°467), le Pr Lépine constatait à son tour : « Dans plusieurs pays en voie de développement, on s’était imaginé qu’avec une seule campagne de vaccinations, on arriverait à résoudre le problème. Or, dans plusieurs de ces pays, la fréquence de ces maladies a augmenté, allant même jusqu’à quintupler depuis la vaccination ».
MENSONGE N° 4 : Vacciner un enfant c’est le protéger
« S’il n’y avait que les vrais malades à
soigner, la médecine serait en situation économiquement difficile. Il
faut donc convaincre l’ensemble de la population qu’elle est
potentiellement malade et vendre des médicaments à ceux qui n’en ont pas
besoin ». (Pr Didier SICARD chef du service interne à l’hôpital Cochin,
président du Comité national consultatif d’éthique)
Un enfant de parents en bonne santé naît
avec un potentiel remarquable et développe progressivement son
immunité. Il est parfaitement capable d’affronter l’épreuve des maladies
infantiles qu’il ne faut pas redouter autant qu’on le prétend. Les
parents anxieux pensent que les vaccinations sont une panacée et
qu’elles éviteront les maladies de leurs enfants.
Les vaccinations affaiblissent
considérablement le terrain. Les maladies aiguës, incapables de
s’exprimer, peuvent se développer de façon larvée, insidieuse, faisant
le lit de maladies chroniques souvent graves et inguérissables.
Il ne faut donc pas redouter les maladies infantiles, rester serein, et aider l’enfant à surmonter cette légère épreuve.
Comme le disait déjà Hippocrate : « Le corps fait une maladie pour se guérir ».
Il est évident qu’il faut surveiller
l’évolution des maladies infantiles afin de ne pas commettre
d’imprudences qui pourraient entraîner des complications chez les
enfants fragiles ou prédisposés à certaines pathologies. Paradoxalement,
ce sont ces enfants qui manifestent les effets secondaires les plus
graves après la vaccination.
Les vaccins empêchent parfois l’éclosion
des maladies pour lesquelles ils sont prévus, mais ils facilitent
l’émergence d’autres maladies, car le terrain est affaibli et se laisse
assaillir par des germes qui prolifèrent et deviennent virulents.
Les vaccins de routine effectués dans l’enfance grèvent le patrimoine héréditaire et l’empêchent d’apporter une protection efficace à l’individu pendant toute sa vie.
Les vaccins de routine effectués dans l’enfance grèvent le patrimoine héréditaire et l’empêchent d’apporter une protection efficace à l’individu pendant toute sa vie.
MENSONGE N° 5 : Les accidents vaccinaux sont exceptionnels
« Le seul vaccin sûr est un vaccin qui n’est jamais utilisé ». (Dr James A. Shannon, membre du National Institute of health)
Ce mensonge est monumental. Aucun vaccin
n’est jamais sûr à 100%, personne n’oserait prétendre le contraire.
Cependant, en France, chaque fois que le Ministère de la santé est
attaqué dans le cadre des accidents vaccinaux, il oppose l’absence de
lien direct entre la vaccination et l’accident, parlant de simples
« coïncidences ».
Comme il est très difficile de démontrer
un lien de cause à effet, surtout quand la mauvaise foi s’en mêle,
cette complexité aboutit à faire porter aux victimes tout le fardeau de
la preuve.
Ainsi les autorités se refusent-elles à
enregistrer comme « réactions vaccinales » les accidents malheureux
qu’on présume être le fruit du hasard. Faute de preuves juridiquement
défendables, nombre de complications vaccinales ne sont pas rapportées
officiellement. Il serait plus logique et plus moral que ce soit les
laboratoires qui apportent la preuve que leurs substances ne sont pas
dangereuses. Mais cela semble impossible étant donné les falsifications,
de plus en plus reconnues de leurs essais sur leurs produits.
Nos voisins de la CEE sont beaucoup plus
honnêtes dans leur déclaration d’accidents. Aux Etats-unis, depuis
1990, la loi oblige tous les médecins à déclarer les complications
vaccinales. Aussi, de 1991 à 1996, on a officiellement enregistré 48743
complications vaccinales…
Alors qu’en France, nos pouvoirs publics clament sur tous les toits que les vaccins ne génèrent pas d’accidents secondaires, surtout chez les enfants.
Alors qu’en France, nos pouvoirs publics clament sur tous les toits que les vaccins ne génèrent pas d’accidents secondaires, surtout chez les enfants.
MENSONGE N° 6 : Le vaccin contre le Tétanos est indispensable
« Quand on a décidé d’être aveugle, l’évidence cesse d’avoir cours » (A.Peyrefitte, l’Empire immobile)
Le tétanos n’est pas contagieux, il ne
se transmet pas par contact d’individu à individu et- mention
particulière – la maladie n’est pas immunisante. Dans son ouvrage La
catastrophe des vaccinations obligatoires, le PR J. Tissot, qui n’était
pas un gourou de secte, mais un authentique savant comme il y en avait
autrefois, posait la bonne question : « puisqu’un malade guéri du
tétanos n’est jamais immunisé contre une seconde atteinte, comment un
vaccin pourrait-il mieux protéger de la maladie » ?
Le tétanos reste aujourd’hui une maladie grave, mais rare. Environ 50% des malades guérissent spontanément.
On estime que toute plaie, si minime
soit-elle, expose au risque du tétanos, ce qui est faux. Il existe, en
revanche, des tétanos en l’absence de plaie. Quant au tétanos néonatal,
qui atteint le nouveau-né essentiellement dans les pays pauvres, il est
dû au manque d’hygiène ombilicale à la naissance.
Il faut donc relativiser les choses et
ne pas céder à la panique soigneusement entretenue par ceux qui
encouragent la consommation vaccinale. Pourquoi vacciner
systématiquement tous les enfants contre une maladie qu’ils ne
rencontreront sans doute jamais ? Sous nos latitudes, les enfants n’ont
pas de tétanos, alors pourquoi tous les vacciner ?
En matière de prévention, après une
blessure, on avait coutume d’administrer de façon préventive du sérum
antitétanique, afin de conférer une immunité passive.
Cette pratique est tombée en désuétude
en raison de son inefficacité et de ses graves inconvénients, dont on ne
parlait guère avant son abandon.
Aujourd’hui, quoi qu’il en soit, on
impose systématiquement le vaccin en cas d’hospitalisation pour
blessure. Le tétanos n’est pas une maladie contagieuse susceptible de
provoquer des épidémies, il est très difficile d’établir des courbes
significatives d’évolution.
Ce sont les pays où la vaccination est le moins pratiquée qui présentent le moins de cas de tétanos. Il se trouve que la France détient le record de cas de tétanos après le Portugal, les deux seuls pays d’Europe où cette vaccination est obligatoire.
Ce sont les pays où la vaccination est le moins pratiquée qui présentent le moins de cas de tétanos. Il se trouve que la France détient le record de cas de tétanos après le Portugal, les deux seuls pays d’Europe où cette vaccination est obligatoire.
Pour qu’il y ait tétanos, il faut
absolument que ces spores se retrouvent dans un tissu en anaérobiose. La
multiplication bactérienne du tétanos ne peut se faire dans des tissus
sains normalement oxygénés, car la présence d’oxygène dans les tissus
vascularisés entraîne instantanément la mort des bactéries. Il est donc
impossible de trouver le bacille du tétanos dans les tissus normaux,
bien irrigués.
C’est pour cette raison que la plupart
des piqûres ou blessures septiques n’entraînent pas la maladie. C’est
pour cela aussi que le tétanos menace davantage les gens âgés, car leurs
tissus sont parfois mal vascularisés, nécrosés, atteints de phlébite et
de mauvaise circulation.
La vaccination antitétanique est dirigée contre la toxine secrétée par le bacille, mais pas contre le microbe.
La vaccination antitétanique est dirigée contre la toxine secrétée par le bacille, mais pas contre le microbe.
Le Dr Méric précise : « Le système
immunitaire se trouve entièrement dans la circulation sanguine, dans le
sang. Aussi bien, les cellules qui forment les anticorps que les
anticorps eux-mêmes appartiennent à ce monde aérobie.
Tout le langage du système immunitaire
appartient à ce monde aérobie. Le transport des anticorps se fait
entièrement et uniquement dans la circulation sanguine et lymphatique,
c’est-à-dire en aérobiose. Les plaies tétanigènes sont nécessairement et
obligatoirement anaérobies donc les microbes et la toxine du tétanos et
les anticorps antitoxines ne peuvent se rencontrer ».
D’après lui, il est absolument impossible que les anticorps rencontrent le bacille ou sa toxine, ce qui semble imparable.
De la sorte, le vaccin contre le tétanos n’est pas du tout efficace, mais il peut toutefois être responsable de sérieux et nombreux désordres post-vaccinaux.
De la sorte, le vaccin contre le tétanos n’est pas du tout efficace, mais il peut toutefois être responsable de sérieux et nombreux désordres post-vaccinaux.
Les traitements non officiels reposent sur le chlorure de magnésium
dont on connaît l’efficacité dans les états infectieux (diphtérie,
tétanos, polio) grâce aux travaux du Dr Neveu, élève du PR Delbet. Le Dr
Neveu avait rédigé un rapport sur les guérisons qu’il avait obtenues
chez des personnes atteintes de diphtérie et le Pr Delbet voulut
présenter ce rapport à l’Académie de Médecine, mais il se heurta à une
opposition farouche de la part du corps médical.
Dans une lettre au Dr Neveu, en date du
16 novembre 1944, il révélait : « La publication de ma communication du
20 juin est définitivement refusée. Le Conseil de l’Académie a trouvé
après 6 mois de réflexion, l’argument suivant : en faisant connaître un
nouveau traitement de la diphtérie, on empêcherait les vaccinations et
l’intérêt général est de généraliser ces vaccinations ».
Voilà un exemple flagrant de mensonge
par omission : les chercheurs indépendants qui trouvent des solutions
efficaces et peu coûteuses, mais qui s’écartent de la voie autorisée,
sont condamnés au silence.
Il ressort de ce rapport que l’Académie de Médecine a décidé délibérément d’étouffer un traitement qui aurait pu sauver des milliers de vie, mais qui aurait risqué de concurrencer les vaccins. Voilà qui donne une idée des puissants intérêts qui dictent sa conduite à l’Académie.
Il ressort de ce rapport que l’Académie de Médecine a décidé délibérément d’étouffer un traitement qui aurait pu sauver des milliers de vie, mais qui aurait risqué de concurrencer les vaccins. Voilà qui donne une idée des puissants intérêts qui dictent sa conduite à l’Académie.
MENSONGE N° 7 : évitez la grippe en vous faisant vacciner
« L’opinion actuelle se maintient par la
presse, la propagande et les moyens financiers mis à sa disposition »
(Dr Albert Schweitzer).
Chaque année à l’automne, les médias
payés par l’industrie pharmaceutique lancent des campagnes publicitaires
pour inciter les personnes âgées à se faire vacciner contre la grippe.
Et pour mieux attirer le consommateur, ils prétendent que c’est gratuit.
Voilà déjà un premier mensonge, car tout le monde sait que rien ou
presque n’est gratuit ici-bas, et que les laboratoires ne sont pas des
mécènes. Les vaccins « gratuits » sont évidemment payés par les usagers
sous forme de prélèvements de la Sécurité Sociale.
Mais tout cela ne serait pas trop grave si ce vaccin était efficace.
En 1993, la Caisse d’Assurance Maladie
de Loire-Atlantique a voulu étendre le bénéfice de la vaccination
gratuite à 43000 assurés sexagénaires, et dû arrêter l’expérience en
constatant qu’à cet âge les vaccinés consultaient plus et dépensaient
plus que les non-vaccinés. Et le journal Libération du 11 octobre 1994
titrait : « Les vaccinés contre la grippe coûtent plus cher à la Sécu ».
L’article précisait : « Les vaccinés consomment plus de médicaments que les non-vaccinés. En novembre et décembre 1993, ils ont dépensé 23% de plus que les non-vaccinés (en consultation, visites, pharmacie). Quant à l’efficacité du vaccin, elle reste difficile à évaluer. »
L’article précisait : « Les vaccinés consomment plus de médicaments que les non-vaccinés. En novembre et décembre 1993, ils ont dépensé 23% de plus que les non-vaccinés (en consultation, visites, pharmacie). Quant à l’efficacité du vaccin, elle reste difficile à évaluer. »
D’ailleurs, très peu de médecins sont vaccinés contre la grippe. Ils sont bien placés pour savoir que ce vaccin est inutile.
Le Dr Anthony Morris, virologiste et ancien chef du contrôle des vaccins qui travaille avec la FDA, est catégorique : « Il n’existe aucune preuve que le vaccin contre la grippe soit utile. Ses fabricants savent bien qu’il ne sert à rien, mais continuent néanmoins à le vendre. »
Non seulement ce vaccin protège peu ou pas du tout, mais les mises en garde provenant de médecins ou de revues médicales réputées sont très nombreuses.
Le Dr Anthony Morris, virologiste et ancien chef du contrôle des vaccins qui travaille avec la FDA, est catégorique : « Il n’existe aucune preuve que le vaccin contre la grippe soit utile. Ses fabricants savent bien qu’il ne sert à rien, mais continuent néanmoins à le vendre. »
Non seulement ce vaccin protège peu ou pas du tout, mais les mises en garde provenant de médecins ou de revues médicales réputées sont très nombreuses.
D’ailleurs, on recommande de faire au
préalable un test cutané en milieu hospitalier sous surveillance, à
proximité d’une unité de soins intensifs, avec de l’adrénaline à portée
de main et un personnel médical et paramédical entraîné, ce qui n’est
jamais fait, mais prouve la dangerosité du vaccin.
Parmi ses nombreux effets secondaires,
il faut citer des péricardites aiguës, des problèmes cardiaques
(infarctus), et des pathologies neurologiques : encéphalites,
myélopathie, occlusion de la veine centrale de la rétine, paraplégie,
radiculite, et la liste est loin d’être exhaustive.
Les recherches du Dr Hugh Fudenberg,
fameux immunologiste américain, l’ont amené à établir un lien entre les
vaccinations régulières contre la grippe et un risque croissant de la
maladie d’Alzheimer.
MENSONGE N° 8 : L’HÉPATITE B est très dangereuse et s’attrape par la salive
« L’ignorance est la mère de tous les maux » (Rabelais)
C’est par un mensonge, qu’a été lancée
la campagne éhontée en faveur de la vaccination contre l’hépatite B,
dont la publicité a dépassé de très loin les arguments utilisés pour
vendre du Coca-Cola.
Ce fut le premier mensonge, mais pas le
dernier, loin de là ! Dès lors, les mensonges se sont succédés à une
cadence rarement égalée auparavant dans le domaine de la santé.
Ainsi, Philippe Douste-Blazy, alors
ministre de la Santé du gouvernement Balladur, n’a pas hésité à avancer
les chiffres les plus farfelus, sans aucune base scientifique, mais qui
avaient évidemment été soufflés par les marchands de vaccins : «
L’hépatite B ce sont 40000 contaminations par an, touchant
principalement les jeunes », osa t-il affirmer à Libération le 4
septembre 1994. Pouvait-il ignorer que les estimations officielles
(Réseau National de la santé) se situaient autour de 8000 ?
Le Dr Christian Spitz, pédiatre et
psychologue chargé de « l’information », n’a pas hésité à affirmer que 4
milliards d’individus étaient touchés par le virus. L’esprit critique
aurait à ce point déserté la France ? Ce chiffre qui représente 70% de
la population mondiale, devait effectivement affoler tout le monde,
jeunes et vieux ! Cependant, personne n’a semblé relever l’énormité du
mensonge, pas une seule voix ne s’est élevée pour protester
officiellement. « Plus c’est gros plus ça passe », selon le dicton !
On peut aussi juger de la qualité des
informations données aux adolescents en prenant connaissance d’une note
interne, lumineuse, du laboratoire Pasteur-Mérieux : « Sur le marché de
la vaccination, les adolescents sont un segment très porteur… Il faut
dramatiser… faire peur avec la maladie ».
A lui seul, cet aveu aurait dû provoquer
une remise en question du vaccin, puisque la « nécessité de vacciner » a
été basée sur ces informations qui relèvent de la publicité mensongère.
Et c’est le laboratoire Pasteur-Mérieux MSD qui s’est chargé d’informer les médecins généralistes, avec toute l’objectivité qu’on peut attendre de quelqu’un qui est juge et partie. Dans cet élan, le laboratoire n’a pas hésité à éditer une plaquette affirmant : « la salive est un important vecteur de la contamination ».
Et c’est le laboratoire Pasteur-Mérieux MSD qui s’est chargé d’informer les médecins généralistes, avec toute l’objectivité qu’on peut attendre de quelqu’un qui est juge et partie. Dans cet élan, le laboratoire n’a pas hésité à éditer une plaquette affirmant : « la salive est un important vecteur de la contamination ».
Avec la bénédiction du ministre de la
Santé, les laboratoires Smithkline Beecham se sont alors introduits au
sein des établissements scolaires pour y imposer, par la peur, un vaccin
non obligatoire, mais que chacun croyait tel… Car aucun des tracts n’a
jamais mentionné que la vaccination était seulement conseillée et non
obligatoire.
En fait, cette OPA a été une parfaite
réussite puisqu’au cours de l’année 1995, on a vacciné autant de
personnes que pendant les quatorze années précédentes.
Avant toute campagne de vaccination, la
fréquence de l’hépatite B était déjà réduite de 90%, principalement
grâce au retrait des lots de sang contaminé. Et de cela, on s’est bien
gardé de parler durant la campagne.
Dans un de ses dépliants, le laboratoire
SBK n’hésitait pas à écrire : « l’hépatite B tue plus de personnes en
un jour que le sida en un an » ! Ce mensonge a été imprimé et distribué à
des centaines de milliers d’exemplaires dans les collèges et les
lycées.
Le Dr Bruno Donatini a mené une étude sur l’hépatite B . Ses estimations sont bien différentes de celles diffusées par les laboratoires et répétées par les organismes publics.
Le Dr Bruno Donatini a mené une étude sur l’hépatite B . Ses estimations sont bien différentes de celles diffusées par les laboratoires et répétées par les organismes publics.
Le Dr Donatini estime que le risque
d’hépatite grave chez un sujet français « normal » est de l’ordre de 1
pour 50 millions alors que le risque d’accident grave est très élevé.
Mais cela, personne ne l’a jamais dit officiellement. Et personne, non
plus, n’a jamais avoué que le nombre de victime de la maladie est bien
loin d’atteindre celui des méfaits de l’alcool, mais il n’existe pas de
vaccins contre l’alcoolisme, aussi en parle-t-on moins.
Soyons sérieux. Étant donné que
l’incidence de la maladie avait diminué de façon spectaculaire bien
avant la vaccination (douze fois moins de cas en 1992 qu’en 1978), on ne
peut que s’inquiéter d’apprendre que les chiffres pour l’hépatite B ont
doublé en dix ans. Dans ce cas, il faut surtout éviter de continuer à
vacciner qui que ce soit .
MENSONGE N° 9 : Il n’existe aucun lien entre le vaccin contre l’hépatite B et la Sclérose en plaques
« Les médecins apprennent à nos risques
et périls. Ils expérimentent et tuent avec une impunité souveraine et le
médecin est le seul qui puisse donner la mort. » Pline
l’ancien,Histoire naturelle)
Ce leitmotiv qu’il n’existe aucun lien
entre ce vaccin et la sclérose en plaques est le principal argument des
fanatiques du vaccin, mais, outre cette redoutable maladie, les
accidents couvrent un éventail d’une soixantaine d’autres pathologies.
Bien avant cette campagne mensongère, la liste des complications
signalées était déjà impressionnante : poussées de sclérose en plaques,
syndromes de Guillain-Barré, névrites optiques, paralysies faciales,
myélites aiguës, lupus érythémateux, polyarthrites, péricardites,
uvéites postérieures, urticaire, érythème polymorphe, lichen plan et
bien d’autres.
En 1994, le Lancet (Vol.344) avait
dénoncé : « La vaccination contre l’hépatite B a été associée à une
exacerbation ou même un déclenchement de maladies auto-immunes telles
que des scléroses multiples ou des syndromes de Guillain-Barré ». Ainsi,
contrairement à ce qu’on prétend, les problèmes liés à la toxicité de
la vaccination contre l’hépatite B ne sont pas réservés à la France ?
Le Dr Laurent Hervieux résumait clairement la situation dans le N° spécial de l’Impatient de mai 1997 consacré aux hépatites : « Le vaccin contre l’hépatite est composé d’un antigène HBS dont la structure est partiellement commune avec la myéline qui entoure les nerfs. Les anticorps fabriqués par l’organisme arrivent à confondre les deux et à attaquer la myéline, d’où les complications neurologiques enregistrées avec cette vaccination. »
Le Dr Laurent Hervieux résumait clairement la situation dans le N° spécial de l’Impatient de mai 1997 consacré aux hépatites : « Le vaccin contre l’hépatite est composé d’un antigène HBS dont la structure est partiellement commune avec la myéline qui entoure les nerfs. Les anticorps fabriqués par l’organisme arrivent à confondre les deux et à attaquer la myéline, d’où les complications neurologiques enregistrées avec cette vaccination. »
L’expert, le Dr Marc Girard, a découvert
un rapport de la direction générale de la Santé (DGS), du 15 février
2002, selon lequel ces vaccins auraient produit « la plus grande série
d’effets indésirables recueillis en pharmacovigilance depuis sa
naissance en 1974 », alors que tous nos responsables de la santé
persistent à affirmer qu’il n’y en a pratiquement pas. Dans la
littérature internationale, on note également une multiplication récente
des articles sur la sclérose en plaques chez l’enfant, maladie
exceptionnelle auparavant. Ce risque vaccinal chez l’enfant a également
été confirmé par un article publié en 2001 dans les Annales
épidémiologiques.
A la suite de ces parutions, les
laboratoires ont réagi car, en 2003, les journaux français ont annoncé
que des études indépendantes avaient totalement innocenté le vaccin. En
vérité, ces deux études, réputées « indépendantes » furent initiées et
en partie financées par les fabricants de vaccins, la première par
Aventis-Pasteur, et la seconde par Merck qui est, par hasard, associé de
Pasteur-Mérieux.
Les marchands de vaccins avec nos instances de santé, n’hésitent pas à proclamer que les accidents survenus après la vaccination relèvent de la pure coïncidence et que les liens que les malades cherchent à établir n’ont aucun fondement scientifique.
Les marchands de vaccins avec nos instances de santé, n’hésitent pas à proclamer que les accidents survenus après la vaccination relèvent de la pure coïncidence et que les liens que les malades cherchent à établir n’ont aucun fondement scientifique.
En outre, ils continuent à claironner
qu’il n’existe « aucun accident » chez les enfants de moins de six ans,
alors qu’il n’y a aucune raison pour que le pourcentage de mortalité
après ce vaccin, pour cette tranche d’âge, soit en France inférieur à
celui des Etats-unis. D’ailleurs le Revahb possède plusieurs dossiers
concernant des accidents survenus chez des nourrissons, d’autres
associations en détiennent également.
MENSONGE N°10 : L’autisme n’a aucun rapport avec les vaccinations
« Lorsque nous laissons au gouvernement
le pouvoir de prendre des décisions médicales à notre place, nous
acceptons tacitement que l’état soit le propriétaire de notre corps »
(Dr Ron Paul, Sénateur américain)
L’autisme se manifeste en général au
cours des trois premières années, période pendant laquelle les enfants
subissent de nombreuses vaccinations. Serait-ce un des curieux
« hasards » qui jalonnent le parcours des vaccins ?
Les cas d’autisme se sont multipliés depuis une trentaine d’années.
Alors qu’aux États-Unis on avait détecté
seulement une poignée de cas les années quarante, vingt ans plus tard,
après la généralisation du vaccin diphtérie-Tétanos-coqueluche et
l’arrivée du vaccin contre la rougeole, les consultations pour des cas
d’autisme devinrent de plus en plus fréquente, et elles ont décuplé avec
l’introduction du ROR et du vaccin anti-hépatite B. A présent les
scientifiques sont très inquiets.
S’agit-il d’une simple coïncidence,
qu’avant l’introduction de ces vaccins, il y a eu si peu de cas et
qu’ils se soient multiplié plus de dix fois depuis la vaccination ?
Comment se fait-il qu’on ne cherche pas à approfondir les études sur ces coïncidences temporelles ?
Comment se fait-il que les pouvoirs
discréditent toute étude sérieuse mettant en cause la toxicité des
vaccins alors qu’ils tiennent compte et plébiscitent certaines études
simplistes et non rigoureuses pour les promouvoir ?
Pourquoi les accidents relèvent-ils toujours de coïncidence ?
Pouvoirs publics, médecins, et médias
persistent à répéter la même rengaine : « Le vaccin reste la meilleure
protection contre la maladie et cette maladie est fréquente et parfois
mortelle », alors que les rougeoles sont rarissimes et parfaitement
bénignes en Europe, dans les familles qui nourrissent correctement leur
enfant.
Les mensonges que nous dénonçons
concernent tous les pays de la planète. Ainsi, lorsque débutèrent les
premières vaccinations ROR au Japon, le Ministère de la santé signala
les effets indésirables dans un cas sur 200 000. Quelques années plus
tard, ayant « révisé » les chiffres, le même ministère annonçait un
accident pour 3000 vaccinés. Les statistiques ayant été à nouveau
« révisées », il fut reconnu un accident pour 1 300 vaccinés, chiffre
étrangement différent de ceux précédemment publiés.
Mais en France, nous n’avons aucun
problème avec le ROR et l’on continue à administrer ce vaccin et à
l’exiger pour l’admission en crèche.
Dans le domaine du mensonge, nos
«experts » restent imbattables ! leurs discours insultent l’intelligence
et s’apparente à un faux témoignage.
Quand demandera-t-on des comptes à ces
spécialistes en rappelant leurs responsabilités ? demande le Professeur
Jacques Testart, biologiste réputé.
POUR CONCLURE
« Ce n’est pas le rôle du gouvernement
d’empêcher le citoyen de tomber dans l’erreur ; c’est le rôle du citoyen
d’empêcher le gouvernement de tomber dans l’erreur » (Robert Houghwout
Jackson, Président du Tribunal de Nuremberg, 1945)
Le dogmatisme médical pourrait être
comparé aux pratiques de l’Inquisition qui brûlait tout ce qui dépassait
son entendement ou risquait de mettre en péril l’hégémonie de l’église
Catholique.
Dans notre pays où Voltaire et Diderot
ont théoriquement détrôné la superstition et le fanatisme, la sagesse
n’est guère de mise et les lavages de cerveau qui vont bon train causent
des dégâts irréparables. Il serait grand temps de nous réveiller et de secouer le joug des idées reçues. Il serait grand temps de penser par nous-mêmes, au lieu de laisser aux « experts » le soin de le faire à notre place.
Devant la puissance financière des
laboratoires, leur mainmise sur la politique de santé, sommes-nous
condamnés à développer une certaine désobéissance civique ? Refusant aux
Pouvoirs Publics le droit de nous imposer ces vaccins inutiles et
dangereux au nom de la solidarité publique. Pourquoi ne pas utiliser
cette arme que n’apprécient ni les fabricants de vaccins, ni les
gouvernements, en attendant qu’une évolution législative respectueuse
des droits de l’homme et de la liberté des citoyens s’instaure ?
Pour mieux désobéir et résister, il est
prudent d’adhérer à des associations de consommateurs de santé,
puisqu’il est bien connu que l’union fait la force.
« Il existe trois sortes de mensonges : les mensonges, les sacrés mensonges, et les statistiques » (Mark Twain)
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